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Mercredi, le 13 septembre 2017
Alien : Covenant, c’est toute ma vie
La semaine dernière, ma vie ressemblait beaucoup trop à Alien : Covenant.
Tout avait commencé par des collègues croisés dans les bureaux. La période des vacances estivales ressemble vraiment à une sorte de grand sommeil dans les habitudes professionnelles, avec au réveil quelques personnes qui ne font plus partie de l’équipe (néanmoins celles-ci connaissent un sort plus enviable que celui du commandant de bord du film de Ridley Scott). Grosse responsabilité sur nos épaules : même si nous ne transportons pas des milliers de passagers en hibernation, nous avons à notre charge des centaines d’étudiants que nous poussons à acquérir un savoir scientifique et technique au cours de cette année universitaire afin qu’ils puissent valider un diplôme, à défaut de s’établir sur une nouvelle planète à terraformer et à coloniser.
Sur le campus, des herbes folles ont envahi les abords des bâtiments, les jardiniers ne se sont pas encore occupés de l’entretien. Cela fait penser au champ de blé laissé à l’abandon sur la planète découverte par le Covenant.
Et soudain, en passant à côté de ces hautes herbes, je me suis fait infecter, à la manière des nano-machines à l’allure de spores du dernier opus en date de la saga Alien.
Essayez d’imaginer un instant qu’un corps étranger entre dans votre oreille et cherche à creuser un chemin jusqu’à votre cerveau... Vous aurez ainsi une petite idée de mon état de panique en rebroussant chemin, affolé, interpelant des collègues afin de trouver de l’aide. Bien entendu, rien n’était visible dans mon oreille, mais le bourdonnement dû à des battements d’ailes contre mon tympan avait de quoi expliquer ma crise. Incompréhension, appel sans succès auprès des pompiers et médecins urgentistes, attente insoutenable... J’ai décidé de régler le problème tout seul, un peu à la manière décrite dans « la Bête à Maît’ Belhomme » (comme quoi, les lectures de l’enseignement secondaire peuvent avoir une utilité inattendue), c’est-à-dire en vidant une bouteille d’eau dans mon oreille. Néanmoins, j’ai eu moins de chance que pour le paysan normand dépeint par Maupassant : la bête semblait toujours vivante et pas décidée à quitter mon oreille. En vitesse, je me suis rendu sur un autre bout du campus afin d’informer les collègues — qui m’attendaient pour un jury — de mon infortune et de mon retard, et j’ai réussi à trouver une infirmière à qui expliquer mon problème. Je me suis donc retrouvé allongé sur un lit d’auscultation, la tête sur le côté, l’oreille remplie de sérum physiologique. Cela a eu pour effet de faire cesser les battements d’ailes, mais pas moyen de sortir l’insecte noyé de mon conduit auditif.
La chemise trempée, j’ai retrouvé mes collègues et j’ai chamboulé l’ordre de passage des soutenances afin de quitter rapidement le campus pour rentrer chez moi et trouver un médecin.
Ce n’est que le lendemain matin que j’ai pu voir mon médecin traitant qui m’a confirmé voir un cadavre d’insecte volant collé à mon tympan. Son extraction avec une pince s’étant avérée à la fois inefficace et très douloureuse, mon médecin a réussi à m’obtenir un rendez-vous avec un spécialiste pour la fin d’après-midi. Les heures se sont écoulées lentement durant toute la journée avec cette gêne jusqu’au moment où j’ai pu voir l’ORL. Un petit coup d’aspirateur dans l’oreille, et hop, en un rien de temps, mon problème était réglé. J’étais soulagé de voir qu’il ne s’agissait que d’une banale mouche, et non d’un des multiples avatars du célèbre xénomorphe.
C’est ici que s’arrêtent les points de comparaison entre ma vie et le film Alien : Covenant.
Ou presque.
Oui, tout comme Peter Weyland, j’effectue des travaux de recherche qui ont des applications dans le domaine de l’intelligence artificielle...


Lundi, le 14 novembre 2016
Violence de la nature sauvage
J’aurais voulu exprimer ma tristesse de voir disparaître Leonard Cohen ou à quel point j’étais navré du résultat des élections aux États-Unis.
Mais un autre événement s’est produit ce samedi qui m’a touché de manière aussi bien physique qu’émotionnelle.
Durant le week-end prolongé qui vient de s’achever, samedi était le seul jour annoncé par les services de météo comme étant beau, c’est ainsi qu’avec la petite famille nous avions décidé de faire une balade à l’air pur dans les proches alentours de Lyon.
Alors que nous étions encore dans la commune de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, nous engageant dans un chemin de terre bordé d’habitations qui montait jusqu’à un bosquet, nous avons entendu un coup de feu.
J’avais mon fils de 21 mois dans les bras car la montée était un peu rude pour lui, mon épouse tenait notre fille de quatre ans par la main, et nous avons échangé un regard interrogateur.
Nous nous sommes arrêtés un instant afin que j’installe le petit bonhomme dans le porte-bébé de randonnée que je porte sur le dos, quand un bruissement de feuilles s’est fait entendre.
Et là, tout s’est passé très vite. Ma fille s’est mise à hurler. J’ai cru qu’elle avait pris peur en voyant un chien, mais c’est un sanglier qui a déboulé de la forêt. L’animal nous a contournés à toute allure mais il s’est soudain arrêté, découvrant qu’il débouchait sur des habitations, un terrain non familier.
Se sentant pris au piège, il a alors fait demi-tour, et j’ai craint pour la sécurité des enfants et de ma femme. Celle-ci s’est baissée pour les protéger et moi, j’ai crié pour lui faire peur.
Le sanglier m’a chargé et s’est échappé par un jardin.
Nous avons demandé de l’aide à la première personne croisée dans ces habitations qui m’a prodigué les premiers soins et qui, coup de chance, était médecin généraliste. Mon épouse s’est chargée de rassurer les enfants qui, après les cris et les pleurs, se sont mis à jouer avec ceux du médecin pendant que je me faisais soigner.
Nous avons ensuite vu un chasseur qui était à la poursuite du sanglier et qui, tenant une feuille ensanglantée, indiquait avoir touché la bête.
Nous avons rebroussé chemin et sommes rentrés à Lyon, non sans avoir au préalable alerté la mairie du danger.
J’ai passé le reste de la journée aux urgences et j’en suis ressorti avec quelques points de suture à la jambe.
Les enfants sont encore traumatisés. La grande ne voulait plus dormir seule dans son lit, craignant de voir débarquer un sanglier dans son sommeil. Mon gamin dit « peur, peur ! » et montre ma jambe en disant « Papa, bobo ! »
J’ai fait des cauchemars dans lesquels nous étions poursuivis par un sanglier qui, dans l’imaginaire des rêves, avait plutôt pris la forme d’un rhinocéros.
De cette surprenant et violente rencontre, je me demande encore si, entre les deux, l’animal sauvage affolé de quelques centaines de kilos était plus à craindre que le chasseur...
Conséquence physique de ma rencontre avec le sanglier




Lundi, le 5 septembre 2011
La Planète des singes : évolution et nouvelle génération
Avant d’aller voir le film La Planète des singes : Les Origines, un intelligent préquel de La Planètes des singes de Pierre Boulle, je vous conseille de revoir les vidéos des adaptations cinématographiques précédentes de l’auteur français de science-fiction, en particulier la version de 1968 réalisée par Franklin J. Schaffner et celle de 2001 réalisée par Tim Burton.
Dans la version de 1968, quatre astronautes quittent la Terre en 1972 pour un voyage d’exploration spatiale et arrivent sur une planète inconnue 20 siècles plus tard. Sur cette planète, les êtres humains sont dénués de parole et de raison et les grands singes (des primates non humains) en sont les maîtres. Sur les quatre voyageurs, un premier (la seule femme de l’équipage) meurt durant le voyage à cause d’un problème dans le système d’hibernation, un deuxième est tué à l’occasion d’un safari (organisé par des gorilles) et un troisième est lobotomisé par une équipe de savants chimpanzés. Le colonel George Taylor, le seul rescapé, guérit d’une blessure à la gorge qui l’avait rendu temporairement muet, attire l’attention de Zira (une guenon scientifique) qui l’aide à s’échapper, puis découvre au milieu de fouilles archéologiques la preuve que l’humain pouvait parler autrefois sur cette planète (avec une poupée humaine qui dit : « Maman ! »). Le film se termine lorsque Taylor, fuyant les singes avec une indigène nommée Nova dans la « zone interdite », découvre avec stupeur les restes de la Statue de la Liberté, comprenant ainsi que cette planète est la Terre et que les humains se sont autodétruits avec la bombe atomique...
(En aparté, l’astronaute Taylor aurait pu s’en douter un peu : les singes parlaient le même anglais que lui et utilisaient le même système d’écriture ! Par contre, ils ne maîtrisaient ni l’électricité ni les machines à vapeur, la seule force motrice étant issue d’espèces domestiquées telles que le cheval... ou l’homme.)
Contrairement au roman de Boulle, dans le film de Schaffner, les événements se déroulent sur une planète qui est la nôtre (même si on ne le sait qu’à la fin du film, désolé de spoiler) après une évolution de deux mille ans. Dans le roman de Boulle, la « planète des singes » est bien différente de la Terre... mais lors du retour sur sa planète d’origine, le seul astronaute terrien rescapé découvre que les singes sont aussi parvenus à dominer notre planète.
Dans un cas comme dans l’autre, je m’étais interrogé sur la manière dont cette sorte d’évolution à l’envers aurait été possible puisque, en scientifique adepte de la théorie de l’évolution, j’ai toujours considéré ceux de mon espèce comme des lointains cousins des grands singes. Dans les films suivants de la saga aux scénarios écrits principalement par Paul Dehn (qui est aussi scénariste de quelques aventures cinématographiques de James Bond), que sont le Secret de la planète des singes de Ted Post sorti en 1970, les Évadés de la planète des singes de Don Taylor sorti en 1971, la Conquête de la planète des singes de J. Lee Thompson sorti en 1972 ou la Bataille de la planète des singes de J. Lee Thompson sorti en 1973 et rescénarisé par Joyce Hooper Corrington et John William Corrington, l’idée mise en avant est qu’une guerre nucléaire aurait ravagé la Terre, détruisant l’essentiel de la population humaine, les survivants étant soit des humains dépourvus d’intelligence et de langage et vivant dans la nature, soit des mutants télépathes adorateurs de la bombe automique et vivant terrés dans les décombres du métro. Une telle explication était plausible pour l’époque, on était alors en pleine guerre froide et on vivait au sein de l’équilibre de la terreur formé par les blocs de l’Ouest et de l’Est tous deux détenteurs de l’arme atomique. Néanmoins cette idée de cataclysme nucléaire qui aurait permis, d’une part, de détruire presque entièrement une espèce (les humains) et permettre à une autre de les supplanter (bon, OK : ça s’est déjà vu, les mammifères ont dominé la Terre après la disparition des dinosaures), d’autre part, d’apporter des mutations rapides et bénéfiques majeures à des espèces (les singes pouvant parler, les humains devenant télépathes), et même de créer des failles spatio-temporelles (permettant à trois singes évolués du futur de revenir dans le passé — c.-à-d. notre présent — et ainsi de laisser la possibilité à César, le fils du couple de chimpanzés, d’amener les singes domestiques à se révolter et battre les humains). Mouais, pas très convaincant...
Dans le film de 2001 réalisé par Tim Burton, avec un scénario écrit par William Broyles Jr., Lawrence Konner et Mark Rosenthal, la suprématie des singes sur la planète Ashlar serait liée à une sorte de « contamination » de cette planète par des singes intelligents et agressifs rescapés du crash d’une station spatiale terrienne. Là encore, j’avais du mal à accepter une telle justification.
La Planète des singes : Les Origines remet au goût du jour les idées science-fictives des versions précédentes. Déjà, Rupert Wyatt, le réalisateur, est un Britannique né en 1972, c.-à-d. pendant la sortie des films de la saga de la Planète des singes. Des idées telles qu’une destruction globale par une catastrophe nucléaire militaire, nous n’y croyons plus tellement depuis le déclin de l’Union soviétique. Et au niveau des catastrophes nucléaires civiles, Tchernobyl ou Fukushima ont provoqué des développements de cancers mais pas de mutations « positives » amenant à des superpouvoirs à la manière des X-Men. Nous ne croyons plus trop non plus à l’exploration spatiale (un vol spatial habité vers Mars semble déjà le bout du monde), et encore moins aux voyages dans le temps. Et puis, il y a eu les années SIDA, la brebis Dolly, le projet séquençage de l’ADN humain... Du coup, les idées en vogue sont plutôt à puiser du côté du domaine médical et des sciences cognitives, avec des attentes fortes dans les retombées des travaux menés en génie génétique, en virologie et dans la recherche destinée à lutter contre les maladies neurodégénératives.
Prenez ces ingrédients, mélangez le tout et secouez bien et vous obtiendrez un cocktail assez cohérent comme base du film La Planète des singes : Les Origines sorti en salle cet été 2011. Le résultat est un divertissement vraiment plaisant et assez bien ficelé, les singes sont bien plus réalistes que ceux obtenus par les acteurs grimés dans les versions des années 1968 à 1973, ou même que la version de 2001. On se laisse assez facilement emporter par l’histoire, les personnages et les effets spéciaux, et on s’amusera des clins d’œil multiples aux anciennes versions.


Mercredi, le 29 juillet 2009
Article supprimé
(...)


Jeudi, le 17 juillet 2008
Nos amies les bêtes
Non, je ne suis « pas vraiment » en vacances, je me suis occupé de ma chère et tendre et de nous trouver un nouvel appartement. Maintenant que ces problèmes semblent en bonne voie de se résoudre (je dois aller à Lyon ce matin pour signer le bail mais il me faudra ensuite trouver un déménageur), je peux me poser un instant devant un ordinateur et parler de quelques petites anecdotes de mon quotidien – en rapport avec les animaux – qui colorent ma vie d’épisodes allant du Disney le plus dégoulinant au Looney Tunes le plus caricatural (avec Pépé le putois en particulier), en passant par Lassie chien fidèle, l’univers de la petite Heidi... et même un peu d’Alien aussi...
Je m’explique :
  • j’ai été adopté par la chienne de ma compagne, une adorable golden retriever, une vieille mémère qui ne se rend pas compte de son âge... Ainsi, quand elle n’a pas un bobo à l’œil, c’est à la pa-patte... Alors non, je ne vais pas te renvoyer la ba-balle, cou-couche panier, tu arrêtes de faire la fofolle, à la retraite pendant 3 semaines et puis c’est tout ;
  • en rentrant d’un week-end chez ma copine, j’ai manqué mon train à cause d’un troupeau de vaches... Des explications ? Pour le moment, mon amie vit en montagne, et quand les fermiers emmènent paître leurs bêtes d’un endroit à l’autre et qu’ils empruntent les seules routes praticables par les voitures, il n’y a qu’à patienter, et tant pis si on arrive trop tard à la gare de la grande ville car le train, lui, n’attend pas ;
  • le 8e passager : alors que je tondais les abords d’un chalet au coupe-bordure, j’ai éprouvé une très désagréable sensation à l’oreille gauche... Panique, cela faisait « toc toc » contre mon tympan, alors à force de secouer la tête, d’y verser de l’eau, j’ai réussi à en faire sortir l’araignée qui y avait trouvé refuge (j’ai de grands conduits auditifs, m’a confirmé le médecin vu le lendemain) ;
  • en allant voir le Capitaine-qui-ne-signale-pas-qu’il-s’en-va-en-week-end de retour chez lui, sa petite chatte n’a pas arrêté de me tourner autour (histoire de dire : il ne faut pas que mon maître me laisse toute seule, raison pour laquelle ce dernier accueillait une autre félidées le soir même)... et en les quittant pour aller à mon rendez-vous, à cette agence logement, afin d’y déposer mon dossier, je me disais que je ne sentais pas très bon... De retour chez moi, j’ai découvert que la féline créature avait projeté sur ma chemise une espèce de liqueur brunâtre et nauséabonde que j’imaginais être l’apanage des seuls putois ou moufettes... Sympa, la bestiole !
À bientôt pour de nouvelles aventures !

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